Causal association between JAK2 and erectile dysfunction: a Mendelian randomization study

Contexte En tant que l’une des protéines les plus critiques de la voie de signalisation JAK/STAT, Janus kinase 2 (JAK2) est impliquée dans de nombreux processus biologiques et maladies.

Plusieurs études observationnelles ont rapporté le rôle de JAK2 dans la dysfonction érectile.

Cependant, la relation causale entre JAK2 et la dysfonction érectile reste incertaine.

Ici, nous étudions la relation causale entre JAK2 et la dysfonction érectile.

Résultats JAK2 génétiquement prédit était causalement associée à la dysfonction érectile par pondération de variance inverse (OR = 1,109, IC à 95% = 1,029–1,196, p  = 0,007) et la méthode médiane pondérée (OR = 1.117, IC à 95% = 1.003-1.245, p  = 0.044).

Aucune hétérogénéité n’a été observée dans le test Q de Cochran ( p  = 0,855) et MR-PRESSO ( p  = 0,866).

La pléiotropie n’a pas été observée dans notre étude ( p  = 0,617).

Conclusions Ces résultats ont mis en évidence JAK2 comme un facteur de risque de dysfonction érectile et ont prouvé la relation causale entre JAK2 et la dysfonction érectile; ils suggèrent que le ciblage de la signalisation JAK2 pourrait être un candidat thérapeutique nouveau et prometteur dans le traitement de la dysfonction érectile.

Background As one of the most critical proteins in the JAK/STAT signaling pathway, Janus kinase 2 (JAK2) is involved in many biological processes and diseases.

Several observational studies have reported the role of JAK2 in erectile dysfunction.

However, the causal relationship between JAK2 and erectile dysfunction remains unclear.

Here we investigated the causal relationship between JAK2 and erectile dysfunction.

Results Genetically predicted JAK2 was causally associated with erectile dysfunction in inverse variance weighting (OR = 1.109, 95% CI = 1.029–1.196, p = 0.007) and weighted median method (OR = 1.117, 95% CI = 1.003-1.245, p = 0.044).

No heterogeneity was observed in Cochran Q-test ( p  = 0.855) and MR-PRESSO ( p  = 0.866).

Pleiotropy was not observed in our study ( p  = 0.617).

Conclusions These findings highlighted JAK2 as a risk factor for erectile dysfunction and proved the causal relationship between JAK2 and erectile dysfunction, suggesting that targeting JAK2 signaling might be a novel and promising therapeutic candidate in the treatment of erectile dysfunction.